Fin 2006, Nissan semblait avoir définitivement fait un trait sur le segment des compactes. Ce n’était qu’une pause vu que le constructeur propose une nouvelle Pulsar.
Après avoir laissé tomber l’Almera et l’Almera Tino fin 2006, l’intention de Nissan semblait être d’abandonner le segment des compactes. En présentant la Pulsar, le constructeur compte faire son retour sur ce marché très porteur.
Compacte classique à cinq portes, la Pulsar s’intercale entre la Juke et la Qashqai. Alors que la concurrence est rude entre Peugeot 308, Renault Mégane, Volkswagen Golf, autres Citroën C4, Nissan a peaufiné sa copie pour proposer un véhicule très intéressant.
À la différence de ses concurrentes, la Pulsar affiche une longueur de 4,38 m, soit près de 10 cm de plus que ses rivales. Si cette différence ne profite pas vraiment au volume du coffre (385 litres), c’est surtout l’habitacle qui tire profit d’un surcroit de place, notamment au niveau des places arrière.
En proposant la Pulsar avec deux-quatre cylindres, un DIG-T 1,2L essence suralimentée (115 ch, 190 Nm) et un dCi turbodiesel 1.5L (110 ch, 260 Nm), associés à des boîtes six vitesses ou X-Tronic 7 rapports en mode séquentiel, Nissan a doté sa nouvelle compacte d’une belle dotation à même de donner suffisamment de souffle à aux relances.
Avec un écran TFT 5 pouces, le système Nissan Connect multimédia (navigation, Bluetooth, audio, etc.), un écran central qui affiche la vision panoramique 360° du système AVM à 4 caméras, mais aussi la détection d’objets en mouvement, la surveillance des angles morts, l’alerte de maintien de file, mais aussi le freinage autonome d’urgence du Nissan Safety Shield font que la Pulsar est bien dotée au niveau équipement, alors que les finitions Visia, Acenta, Connect Edition ou Tekna permettent d’encore plus la personnaliser.
Proposée à partir de 18 790 € en version DIG-T et 21 290 € en dCi, la Pulsar est particulièrement avantageuse à équipements comparables.