Trop c’est trop, c’est que s’est dit Justin Bieber au moment de désactiver son compte Instagram. Il était agacé par les très nombreuses critiques dont il était la cible.
En tant qu’icône de la pop pour les plus jeunes, Justin Bieber est une personnalité qui est très suivie sur les réseaux sociaux. Son compte Instagram compte par exemple 78 millions d’abonnés. Il faut plutôt dire « comptait » 78 millions d’abonnés vu que le chanteur vient de désactiver son compte.
Lorsqu’on est célèbre, on s’expose aussi plus aux critiques. Justement, depuis sa rupture avec Selena Gomez, il faisait l’objet de très nombreuses critiques, parfois haineuses, lorsqu’il publiait quelque chose en relation avec Sofia Richie, sa nouvelle compagne.
C’est agacé par les trop nombreux commentaires agressifs de ses fans, parfois choquants, que Justin Bieber s’est donc décidé à prendre ses distances avec Instagram en fermant tout simplement son compte. Cette décision intervient après qu’il se soit tout d’abord décidé à rendre privé son profil pour en limiter l’accès. Cela n’a visiblement pas suffi vu qu’il s’est rapidement décidé à purement et simplement désactiver son compte.
Une grosse perte pour Instagram
Avec 78 millions d’abonnés, le profil de Justin Bieber était un des plus suivis sur le réseau social. Sa fermeture est donc une grosse perte pour la filiale de Facebook.
Ce n’est visiblement pas l’outil de modération récemment déployé permettant de supprimer certains commentaires déplacés qui a suffi à motiver le chanteur de rester. Il faut dire que gérer autant de publications quotidiennes doit être une mission quasi impossible, même pour le plus habile des community managers. Ce départ est aussi la résultante d’une politique laxiste de la part d’Instagram.
En considérant que le cas Justin Bieber ne soit que la pointe de l’iceberg, son départ pourrait donner des idées à d’autres célébrités qui sont certainement agressées de la même manière. En cas d’hémorragie, le réseau social se doit de rapidement réagir au risque de perdre de nombreuses plumes dans cette affaire. Il en va de sa notoriété, mais aussi de sa crédibilité.