Par les conditions générales de Drive, Google s’octroie le droit d’utiliser et exploiter vos données personnelles.
Avant de conclure un contrat, il est toujours intéressant et important de lire toutes les clauses du contrat. C’est ce qu’a fait le site américain CENT à propos du nouveau site de stockage externalisé Google Drive.
L’article suivant fait partie des conditions générales : « En soumettant des contenus à nos Services, par importation ou par tout autre moyen, vous accordez à Google (et à toute personne travaillant avec Google) une licence, dans le monde entier, d’utilisation, d’hébergement, de stockage, de reproduction, de modification, de création d’œuvres dérivées (des traductions, des adaptations ou d’autres modifications destinées à améliorer le fonctionnement de vos contenus par le biais de nos Services), de communication, de publication, de représentation publique, d’affichage ou de distribution publique desdits contenus ».
En clair, cela signifie que vous demandez à Google que de stocker vos données personnelles, mais que Google, de son côté, se donne le droit d’exploiter vos données personnelles à sa guise ! Il est certain que Google n’ira pas fouiller dans vos photos de vacance, mais quand est-il des documents professionnels ou confidentiels ?
comment les utilisateurs internet trouvent ils des articles du journal ci présent ? Par les actualités google, ce qui explique schématiquement qu’entre autres même si ce n’est pas le moteur de recherches favoris du directeur d’agence, linformatique.org entre des millions d’utilisateurs de part le monde, travaille avec google.
A la logique toutes violations de la propriété intellectuelle étant pénalement reprochable à une licence, il en est que le paragraphe cité à l’article ci présent, ne fournit aucun indice concernant l’accès aux données des utilisateurs autre que celui fournit par la licence d’utilisation qui précise comment fonctionne la plateforme qui peut permettre à des utilisateurs autorisés par le titulaire du compte à accéder aux données du drive.
S’il y a des abus, ce n’est pas la licence, mais des vices de gestions …
Pour dire, entre autre, le propylglycol à 80% sur glycérine c’est pas forcément bon pour la concentration, les journalistes du web devraient arrêter de piccoler avant de se mettre à divaguer en grandes lignes pour raconter n’importe quoi.