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Deepfakes sur WhatsApp et Instagram, l’affaire Taylor Swift sonne l’alarme

L’affaire Taylor Swift met en lumière le problème des deepfakes pornos sur les réseaux sociaux. Meta dans la tourmente face à ce fléau grandissant.

Bon sang, mais qu’est-ce qui se passe sur les réseaux sociaux de Meta ? C’est la question que tout le monde se pose depuis que l’affaire Taylor Swift a éclaté. La star américaine s’est retrouvée, bien malgré elle, au cœur d’un scandale qui fait trembler la toile : des deepfakes pornographiques qui ont circulé comme une traînée de poudre sur WhatsApp et Instagram.

Mais attendez, c’est quoi au juste un deepfake ? Pour faire simple, imaginez qu’on prenne votre tête et qu’on la colle sur le corps de quelqu’un d’autre dans une vidéo ou une photo. Sauf que là, on parle de contenu pornographique. Pas très glamour, vous en conviendrez.

Le hic, c’est que ce genre de contenu pullule sur les réseaux sociaux, et visiblement, Meta a du mal à suivre. C’est comme essayer d’éteindre un feu de forêt avec un verre d’eau. Kafkaïen, non ?

Meta dans de beaux draps

Figurez-vous que la Junta de Supervisión de Meta, un truc censé être indépendant (mais bon, on a des doutes), vient de sortir un rapport qui fait l’effet d’une bombe. En gros, ils disent que Meta, c’est pas vraiment ça niveau cohérence quand il s’agit de gérer ces contenus.

Tenez, prenez le cas d’une célébrité indienne. Son image a été bidouillée, postée sur Insta, signalée deux fois, et devinez quoi ? Rien. Nada. Il a fallu que la Junta s’en mêle pour que ça bouge. Et pendant ce temps-là, pour une star américaine, pouf ! L’image disparaît en un clin d’œil. Deux poids, deux mesures ?

L’IA, cette belle garce

Ah, l’intelligence artificielle ! On nous la vend comme la solution à tous nos problèmes, mais là, c’est plutôt elle qui en cause, des problèmes. C’est un peu l’arroseur arrosé version 2.0.

Un pote qui bosse dans la cybersécurité (et qui préfère rester anonyme, allez savoir pourquoi) m’a dit un truc qui fait froid dans le dos : « Ces algos, ils peuvent pondre des milliers d’images en deux temps trois mouvements. Et nous, on est là avec nos petites mains à essayer de tout nettoyer. C’est David contre Goliath, mais Goliath a pris des stéroïdes. »

Pourquoi on devrait s’en faire ?

Bon, à part le fait que ça craint sévère pour les victimes, ce bordel a des implications plus larges qu’on pourrait le croire :

  1. Vie privée ? Connais pas. Imaginez-vous à la place de Taylor Swift. Pas cool, hein ?
  2. Fake news en stéroïdes. Si on peut faire croire que n’importe qui fait n’importe quoi, où va-t-on ?
  3. Confiance zéro. Bientôt, on ne croira plus rien de ce qu’on voit en ligne. Sympa, l’ambiance.
  4. Les juristes en PLS. Comment légiférer sur un truc qui évolue plus vite que l’éclair ?

Et maintenant, on fait quoi ?

La Junta a pondu quelques idées. Pas révolutionnaires, mais bon, c’est déjà ça :

  1. Faut que Meta arrête de tourner autour du pot et appelle un chat un chat. « Non consensuel », ça vous parle ?
  2. Réactivité, bordel ! On attend pas que ça fasse la une de tous les journaux pour agir.
  3. Technologie de ouf pour repérer ces saletés de deepfakes.
  4. Éduquer les gens. Parce que franchement, y’en a qui ne savent même pas ce que c’est.

Un porte-parole de Meta a sorti le pipeau habituel : « On prend ça très au sérieux, blablabla. » Mouais, on attend de voir.

Et demain, ça donne quoi ?

Franchement ? Ça sent pas bon. L’IA, elle progresse plus vite que nos lois, nos réflexes, et même notre éthique. Cette histoire de deepfakes, c’est juste la partie émergée de l’iceberg.

Une chose est sûre : si on ne fait rien, ça va être le Far West numérique. Faut que tout le monde s’y mette : les plateformes, les politiques, et nous, les utilisateurs.

Alors, vous en pensez quoi, vous ? Comment on se protège dans ce monde où même nos têtes ne nous appartiennent plus vraiment ? Balancez vos idées, c’est le moment ou jamais de se creuser les méninges sur le sujet !

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