Comment se comporte un chien de berger lorsqu’il surveille un troupeau de brebis ? Des chercheurs ont réussi à modéliser son algorithme.
C’est en équipant de harnais GPS un chien de berger et le troupeau de brebis qu’il surveillait que des chercheurs ont pu identifier l’algorithme utilisé par le chien pour remplir sa mission.
C’est par un article publié sans la revue britannique Journal of the Royal Society Interface que l’on apprend que le chien de berger effectue une succession d’opération simple pour résoudre un problème complexe.
Avant d’arriver à une conclusion, les chercheurs expliquent avoir évalué plusieurs modèles, mais que certains ne sont pas capables de gérer des troupeaux dépassant la cinquantaine d’animaux sans chien ou berger supplémentaire.
Si la découverte de cet algorithme pouvait faire sourire, elle a tout de même des retombées importantes, car ce modèle pourrait par exemple être appliqué aux robots, car l’intérêt d’un algorithme simple est qu’il est facilement possible de le mettre en œuvre, sans nécessiter de moyen complexe.
Reste maintenant à savoir où un tel algorithme pourrait être utilisé ? Par exemple pour des robots chargés de récupérer des déchets dans les océans.
Rien de neuf là dedans. La cybernétique, la systémique et les neurosciences cumulés permettent de se rendre compte que l’humain peut être lui aussi réductible à un algorithme. On peut facilement contrôler l’humain comme on contrôle une machine. Des expériences ont prouvés que l’humain agissait en fonction des informations qu’on lui diffusait. C’est d’ailleurs pourquoi les USA ont travaillés à répandre la télévision, l’ordinateur, les appareils mobiles, un moteur de recherche principale, des réseaux sociaux etc… Ces outils servent a plonger l’humain lambda dans un nid d’informations contrôlés par le pouvoir. Nous vivons donc dans une matrice artificielle qui programme la destruction de toutes biodiversités. Tout autour de nous devient de plus en plus fade: les constructions, la nourriture, l’art, etc… pour que nous ne trouvions d’intérêt que dans les écrans.