L’enquête de l’Union Européenne sur les pratiques commerciales de Google touche à sa fin. Quelle va être la sanction ?
Avec 95% de part de marché en Europe, Google éclipse la concurrence notamment représentée par Yahoo! et Bing. Le moteur de recherche de Mountain View est notamment accusé d’altérer les résultats de recherche pour favoriser ses propres services ou ceux de ses partenaires, ce qui correspondrait donc à un abus de position dominante. Par ailleurs, du contenu d’autres sites internet, comme Yelp ou Amazon, serait extrait afin d’enrichir son moteur et ses services, une pratique qui ôte du trafic à ses sites et altère leur développement.
Dans le but de faire la lumière sur ces pratiques, l’Union Européenne a commencé une enquête en 2010. Depuis, Joaquín Almunia, le commissaire à la Concurrence, a tenté en vain à trois reprises de trouver un accord avec Google. Le dossier est désormais entre les mains de son successeur : Margrethe Vestager.
Cette dernière a fait valoir qu’elle favoriserait l’application de la loi et la sanction, plutôt que le maintien de négociations interminables.
Aujourd’hui, cette enquête touche à sa fin et l’heure de la sanction approche. D’après le Wall Street Journal, la sanction de l’UE devrait finalement être une amende, une sanction qui pourrait atteindre jusqu’à 10% du dernier chiffre d’affaires annuel de la société, soit environ 6 milliards de dollars.
Est-ce que cette sanction sera vraiment prononcée ?
@francoise : ouais, donc tu ne connais rien au principe de l’anti-trust. Comme on dit quand on sait pas, vaut mieux se la fermer plutot que de passer pour une …
Quand on domine un domaine, ce n’est pas normal d’utiliser cette position pour promouvoir et obtenir des parts de marche dans d’autres domaines paralleles. Autre principe de base que tu ne dois pas connaitre : Reguler la concurrence deloyale, c’est la responsabilité premiere des etats envers leur economie pour qu’elle reste saine.
@Tai_Gueule_Tu_Nous_Saoûles
C’est dit un peu crûment, mais tu as raison, son commentaire est ennuyant à lire.
@ Tai : Tu te titilles en te relisant ou quoi ?
Personne de normalement constitué n’écrit un commentaire dans ton style ridiculeusement ampoulé.
Si jamais tu rédiges un livre, préviens nous, on pourra immédiatement stopper la fabrication de somnifères afin de distribuer gracieusement l’horreur littéraire que tu nous auras pondue à tous les insomniaques.
Tu dois certainement être la personne la plus pédante au monde, celle à fuir absolument lors d’un diner, si l’on ne veut pas finir endormi dans sa soupe refroidie, assommé par ta diatribe infernale.
Détends toi, respire un bon coup, lâche ton dictionnaire des synonymes et va faire un tour dehors, prendre un peu l’air, petit rat de bibliothèques numériques que tu es.
Google doit payer ! en Amérique il est le pacha en Europe il y à des lois ! Si on les respects pas on est condamné ! donc il va passer à la caisse !
Françoise,
sur le même site, tu trouveras un article : qui explique les USA aussi font la même enquête que les européen.
Mais bon au vu de ton discours, je pense que de toute façon même si on te présentait de la *** américaine, tu penseras qu’elle sent bon…
Pauvre, pauvre, pauvre françoise. Parce que Yahoo et Bing ne sont pas aussi des firmes américaines ?
LOL. Tu parles de jalousie des européens, c’est totalement stupide.
Il s’agit seulement d’empêcher un monopole de s’installer dans le domaine des moteurs de recherches sur internet (qui est contrôlé par les américains, comme chacun le sait, puisqu’ils l’ont inventé).
Rien à voir avec un conflit économique américano-européen. Yahoo et Bing, sociétés américaines, seront les premiers à en profiter.
Pauvre, pauvre, pauvre françoise…
Françoise, pauvre *** T’es quoi toi, une pouf d’américaine venue tapinée en Europe ? Google se doit d’appliquer les lois européennes s’il veut profiter du marché européen. Les américains font suffisamment chier les européens avec toutes leurs protections légales afin de favoriser leurs propres entreprises. Va pleurer ailleurs, ***
Je ne mélange pas tout : les pratiques commerciales sont une chose, les artifices fiscaux encore une autre. Et je sais qu’en regard de l’âpreté de la lutte que se livrent les groupes et de l’importance écrasante accordée à l’économique et à la finance dans nos horizons modernes ce que je vais dire ne pèse pas lourd.
J’aimerais cependant évoquer pour une fois les services inestimables que les algorithmes du moteur Google rendent à la recherche en prenant l’exemple de l’un de mes domaines d’investigation : l’histoire du livre et des bibliothèques. En fédérant de façon flexible l’ensemble des catalogues numérisés des bibliothèques de la planète, Google pré-oriente les recherches au sein non seulement de ceux-ci, mais encore des catalogues imprimés de leurs fonds respectifs. Google rend ainsi possible, en un premier temps et sans déplacement, un ensemble de consultations qui auraient demandé un temps considérable, même à quelqu’un placé dans les conditions les plus adéquates.
Incidemment, ce domaine d’expérience me permet d’ajouter qu’en ce qui concerne les livres anciens, c’est plutôt Amazon qui enrichit ses catalogues de titres que la firme ne peut pas par définition fournir et qui sont l’apanage des bibliothèques, de leurs portails et de ceux des libraires spécialisés, petits et grands ainsi que des salles des ventes.
Je pense que c’est normal que Google donne un avantage à ses produits.
Si Google est le numéro 1, ça ne vient pas comme ça sans effort, sans investissement… vous ne voulez plus qu’il gagne grâce à son travail ?
Je vois que c’est une affaire de jalousie… et de pauvreté de la part des Européennes, et surtout les Français.