Avec une augmentation du nombre d’antennes 4G de seulement 1,5%, le mois de janvier a été relativement calme. SFR et Free ont été les plus actifs.
Selon les chiffres de l’Agence nationale des fréquences (ANFR) pour le mois de janvier, le premier mois de l’année a été relativement calme sur le front du déploiement de la 4G. Le nombre de sites exploités n’a en effet progressé que de 1,5%. Le nombre d’autorisations n’a même augmenté que de 1,1%.
Il est bon de souligner que ces chiffres, bien qu’exacts, soient indicatifs sur le nombre de nouvelles antennes réellement déployées. En effet, ils ne concernent que le nombre de supports, des supports qui peuvent être partagés par plusieurs opérateurs. Justement, en matière d’antennes, la progression a été de 2,1%.
Au niveau des opérateurs, SFR a été très actif durant le mois de janvier en essayant de rattraper son retard en matière d’infrastructure 4G (+4,7%). Comme toujours, Free a aussi été très dynamique avec 4,38% d’antennes en plus. Par contre question autorisations, l’opérateur ne progresse que de 0,17%.
Orange et Bouygues Telecom, les leaders de la 4G, ne sont pas restés inactifs même si leur progression a été plus modérée. Ils ont respectivement mis en service 1,7% et 2,24% d’antennes en plus.
Globalement, Free a été l’opérateur le plus actif en janvier avec 247 nouvelles antennes en services, devant SFR (219), Bouygues Telecom (160) et Orange (142). Dans son rapport, l’ANFR mentionne également l’arrivée du Bureau des postes et des télécommunications (BTP) en tant que nouvel opérateur en Outremer, plus précisément sur les îles de Wallis et Futuna. La procédure d’attribution des licences 4G en Guadeloupe, en Guyane, à La Réunion, à la Martinique, à Mayotte, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy commence à être ouverte.
Avec la 4G, puis la 5G etc. le cancer a un bel avenir! On ne voir ici les choses que sous leur angle technologique, aveuglement d’autant plus déplorable que toutes les études effectuées les rares études effectuées par des experts vraiment indépendants des opérateurs de téléphonie (cf rapport bio-initiative 2005, rapports de l’OMS qui conclue à leur caractère « cancérogène probable) ) concluent à la dangerosité des ondes électromagnétiques pulsées, qui vibrent sur la même fréquence que le vivant et en perturbe le métabolisme (exp effectuées sur des abeilles -stérilité- et tomates -poussent anarchiquement- notamment).