Avec 1,5 milliard d’utilisateurs, Facebook connecte déjà une personne sur cinq dans le monde, mais le réseau social pourrait encore faire mieux. C’est pour cette raison qu’il lance sa propre campagne publicitaire.
Facebook est déjà le n°1 des réseaux sociaux avec 1,5 milliard d’utilisateurs, soit une personne sur cinq dans le monde. Est-ce suffisant ? En réponse à l’adage qui dit que « stagner c’est régresser », la seule solution pour continuer à avancer, c’est de continuer à se développer.
Le potentiel de croissance dans les pays émergents est encore énorme pour le réseau social, mais il s’agit aussi d’entretenir les utilisateurs actuels, voire te recruter les dernières personnes qui n’ont pas encore succombé à la facebookmania dans les pays plus matures. Pour ceux-ci, la solution passe par la publicité.
C’est ainsi que depuis plusieurs jours, il est pratiquement impossible de passer à côté de la publicité Facebook qui est affichée aux arrêts de bus, à la télévision ou encore dans les journaux. Pour toucher un maximum d’audience, le réseau social a tout simplement décidé d’utiliser tous les canaux publicitaires traditionnels. C’est en tout cas le cas au Royaume-Uni. Si ce n’est pas le cas dans d’autres pays, cela ne devrait sans doute pas tarder à suivre.
Faire face à la concurrence
Avec ses 1,5 milliard d’utilisateurs, Facebook est largement le n°1 mondial au niveau du nombre d’utilisateurs, mais pas dans le cœur de ceux-ci. Selon une récente étude faite aux États-Unis par Piper Jaffray, les trois réseaux sociaux les plus importants pour les jeunes sont Instagram (33%), Twitter (20%) et Snapchat (19%)… alors que Facebook n’est crédité que de 15%. L’entreprise de Mark Zuckerberg a donc à faire face à une sérieuse concurrence.
Le principal reproche fait à la firme de Menlo Park est que Facebook devenu trop encombré, plein de publicité, avec des mises à jour inintéressantes de la part de ses amis, alors que les concurrents que sont Instagram, même s’il appartient à Facebook, et Snapchat sont qu’ils procurent un sentiment de plus convenir aux mêmes idées.
Malgré les critiques, il n’en demeure pas moins que Facebook continue à séduire avec un nombre d’utilisateurs qui ne cesse de croitre, donc sans réellement ralentissement. Avant que Mark Zuckerberg se penche réellement sur les critiques, il faut que la croissance ralentisse réellement, ce qui n’est de loin pas le cas pour le moment.