Alors que onze câbles sous-marins relient déjà les États-Unis à l’Asie, un consortium prévoit d’en installer un douzième.
Ce sont déjà onze câbles sous-marins qui permettent d’acheminer les télécommunications entre les États-Unis et l’Asie. Alors que la majorité de ces liens passent déjà par le Japon, un douzième câble est prévu par un consortium.
Dans le cadre du projet Faster, China Mobile International et China Telecom Global (Chine), Global Transit (Malaisie), SingTel (Singapour), KDDI (Japon) et Google (États-Unis) prévoient d’investir 300 millions de dollars pour un câble sous-marin qui devrait fournir une capacité de 60 térabits par seconde.
Comme l’explique le communiqué officiel sur le projet Faster, ce sera le groupe japonais NEC qui sera en charge de fournir l’infrastructure.
Il est encore précisé que la mise en service de ce douzième câble est prévue pour le second trimestre 2016.