Historiquement parlant, la société Rogers a toujours été très liée à BlackBerry. Pourtant, le numéro un de la téléphonie mobile au Canada a décidé de ne pas commercialiser le dernier BlackBerry Z30.
Pour la société Rogers, premier opérateur de téléphonie mobile au Canada, le dernier smartphone BlackBerry Z30 n’a aucun intérêt pour ses clients. Sans critiquer sa qualité intrinsèque, Robert Bruce, président de Rogers, explique que le Z30 est trop haut de gamme, voire même réservé à un marché de niche. C’est faute d’une véritable viabilité que le numéro un de la téléphonie mobile au Canada a donc jugé inutile d’investir du temps et de l’argent pour le dernier-né de BlackBerry.
La pilule doit être particulièrement amère à digérer pour BlackBerry alors que la société est déjà acculée, mais surtout parce qu’en tant que firme canadienne, la société Rogers a toujours été très liée à BlackBerry.
De fait, BlackBerry voit un nouveau soutien se retirer, ce qui n’est vraiment pas encourageant alors que la tempête approche. Cette défection de Rogers pourrait d’ailleurs parfaitement s’assimiler à l’abandon du navire à la dérive qui s’appelle BlackBerry.